Si Viktor Orbán « occupait vraiment Bruxelles », personne ne voudrait y vivre
Auteur : Catherine Laurence Martens-Preiss
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Une Europe dépendante du pétrole russe, patrouillée par la police chinoise, avec des droits de l'homme limités, une corruption étatique rampante, un contrôle des médias et un déclin économique. Voilà ce que l'« Orbanisation » de l'Union européenne signifierait pour nous tous.
Les libéraux et les démocrates restent aux côtés du peuple hongrois, qui souhaite une Hongrie forte, libre et démocratique au cœur de l'UE. Nous ferons campagne pour nous opposer à la dystopie d'Orbán; en faveur des droits renforcés, de la liberté individuelle, des opportunités économiques et d'une Union européenne plus forte, capable de s'imposer dans le monde et de lutter pour des solutions démocratiques libérales.
Valérie Hayer, présidente de Renew Europe, a déclaré :
« La vision dystopique de Viktor Orbán pour l'Europe est la voie de la non-liberté et du déclin européen. Il s'agit d'une Europe qui dépend d'autocrates étrangers, d'une mauvaise gestion économique et d'une réduction des libertés civiles pour tous les Européens. Il affirme vouloir rester en Europe, mais les jeunes Hongrois souhaitent désespérément partir pour une vie meilleure ailleurs en Europe. M. Orbán rêve d'« occuper Bruxelles », mais s'il le faisait, personne ne voudrait y vivre. »
« La triste réalité est que la Hongrie d'Orbán ne pourrait pas devenir nouveau membre de l'UE aujourd'hui. Nous réitérons notre appel aux États membres afin qu'ils prennent les mesures nécessaires afin d'abroger le droit de vote du gouvernement hongrois. Le gouvernement de M. Orbán représente une menace pour la sécurité de tous les Européens. »
Note aux rédactions: Viktor Orbán a appelé à plusieurs reprises ses partisans d'extrême droite à l'aider à « occuper Bruxelles. »
Veuillez consulter le discours de notre Présidente ici.