Renew Europe mène le renforcement de la politique commerciale de l'UE avec la mise en place d'un instrument anti-coercition fort
Affirmer la puissance commerciale de l'UE a toujours été une priorité pour Renew Europe. L'adoption, au sein de la commission du commerce international, de la position du Parlement européen en vue des négociations avec le Conseil sur l'instrument anti-coercition, est un succès pour Renew Europe ainsi que la reconnaissance de notre travail pour compléter la boîte à outils commerciale de l'UE. En effet, la création de l'instrument anti-coercition a été initiée par Marie-Pierre Vedrenne, rapporteure Renew Europe sur le Règlement sur l'application des règles commerciales de l'UE.
Notre groupe est donc ravi d'assister à l'avancement de ce dossier important. Grâce à l'instrument anti-coercition, l'UE aura tous les outils en main pour répondre et contrer les mesures de coercition économique de pays tiers cherchant à interférer avec les intérêts de l'UE et des Etats membres. Si toutes les tentatives de dialogue avec un pays tiers appliquant des mesures coercitives sont infructueuses, l'UE sera en mesure de les contrer.
Les négociations interinstitutionnelles doivent commencer le plus tôt possible. Nous comptons sur le Conseil pour être à la hauteur des enjeux et éviter tout blocage et ralentissement des négociations. L'UE et ses entreprises ont besoin de cet instrument. Continuons à renforcer notre puissance commerciale.
Marie-Pierre Vedrenne (L'Europe Ensemble, France), vice-présidente de la commission du commerce international et rapporteure fictive sur ce dossier, au nom de Renew Europe, a déclaré : « Ce vote est une grande victoire pour le Parlement et le groupe Renew Europe, ainsi qu’une étape importante pour l'avenir des politiques commerciales de l'UE. Nous avons besoin d'un tel instrument pour disposer d'une boîte à outils solide, et de moyens convaincants pour dissuader les menaces économiques. Nous ne voulons pas d'une guerre commerciale. Nous privilégierons toujours le dialogue et les négociations. Mais si cela échoue, nous pourrons réagir et défendre nos intérêts par des contre-mesures efficaces »
Samira Rafaela (D66, Pays-Bas), coordinatrice de Renew Europe au sein de la commission du commerce international, a ajouté : « Renew Europe est à nouveau à l'avant-garde du renforcement de la boîte à outils commerciale de l'UE. L'adoption de la position du Parlement sur l’instrument anti-coercition est une étape importante pour la capacité de l'UE à réagir à la coercition injustifiée des pays tiers. Il est maintenant temps d'entrer en trilogue et de travailler avec le Conseil à l'élaboration d'un instrument efficace »